mardi 31 mars 2009
Les mots qui touchent
"La vie est si Fragile" et, vous me connaissez, j'avais les yeux dans l'eau...à 6h35.
Il y a dans ces mots, dans ce choix de mots, une telle compréhension de la vie et de ses détours, une telle sensibilité, une si pénétrante leçon de vie.
On ne choisit pas toujours la route
Ni même le moment du départ
On n'efface pas toujours le doute
La vieille peur d'être en retard
Et la vie est si fragile
On ne choisit jamais de vieillir
On voudrait rêver un peu plus
La vie n'est pas faite pour mourir
On meurt souvent bien entendu
Car la vie est si fragile
Est si fragile
On n'atteint pas toujours le but
Qu'on s'était fixé autrefois
On ne reçoit pas souvent son dû
La justice choisit ou elle va
Et la vie est si fragile
On est seulement ce que l'on peut
On est rarement ce que l'on croit
Et sitôt on se pense un dieu
Sitôt on reçoit une croix
Car la vie est si fragile
Est si fragile
Car le temps est là
Toujours là
Seule justice ici-bas
On est si fragile
On marche sur l'or ou sur l'argile
Dépend de ce qu'on a reçu
On reste tout aussi fragile
Pourquoi donc se marcher dessus?
Car la vie
Est si fragile
Merci Luc!
lundi 30 mars 2009
Retrouver la vue

vendredi 20 mars 2009
Le printemps
jeudi 19 mars 2009
Protéger le droit de rêver

mercredi 18 mars 2009
Les pièges de l'humeur.

Se frotter les mains, c'est deux fois meilleur lorsque le vent vient du Nord et ...il n'y a qu'une manière de résister au froid, c'est d'en être content.
Tiens, un certain Spinoza a dit: : « Ce n'est point parce que je me réchauffe que je suis content, mais c'est parce que je suis content que je me réchauffe. » de la même manière, ce n'est pas parce que j'ai réussi que je suis content ; mais c'est parce que j'étais content que j'ai réussi. »
Et un autre Philosophe, Alain, poursuit avec : « Remerciez avant d'avoir reçu. (...) et l'espérance fait naître les raisons d'espérer, et le bon présage fait arriver la chose. (...) La bonne espérance fait réelle joie de tout, parce qu'elle change l'événement.
(...) et si vous rencontrez l'ennuyeux, qui est aussi l'ennuyé, il faut sourire d'abord. »
Et pour terminer, une phrase d'un illustre inconnu: «Ne vous plaignez pas que les roses aient des épines ! Réjouissez-vous que les épines aient des roses !"»
mardi 17 mars 2009
Pourquoi la patience?
lundi 16 mars 2009
On vit chaque jour comme le dernier

vendredi 13 mars 2009
Prendre le train....au lieu de le regarder passer

Lorsque ma première fille est revenue "gelée " d'une soirée...mes bras sont tombés et je n'avais aucune idée de la manière dont il me fallait réagir à cela. Lorsque pour la première fois elle n'est pas rentrée de la nuit, j'ai su que j'avais une adolescente devant moi et qu'elle allait me faire connaître tout ce que la vie ne m'avait pas fait connaître encore....et plus. Tellement de fois j'ai hurlé en dedans de moi, tellement de fois j'ai frappé des volants de badminton pour faire sortir la tension qui m'envahissait...
J'ai finalement compris -ma fille me l'a fait comprendre - que ce n'était pas ma route, c'était la sienne. Certaines personnes mettent moins de temps que d'autres à comprendre. J'étais dans la deuxième catégorie. Ma fille qui malgré tout le brouhaha et les émotions qui semblaient l'habiter avait réussi à terminer son secondaire, avait cependant dû renoncer au collégial. La vie avait décidé que ce n'était, semble-t-il, pas le moment.
Au cours d'une soirée à jaser avec elle récemment, elle me parlait de son désir de retourner aux études... possiblement dans un domaine qui aurait trait à la nutrition. J'avais le coeur qui me débattait de la voir emballée à l'idée de retourner aux études. Il y a deux jours, je lui ai proposé d'aller s'inscrire pour compléter le préalable pour ce programme. Elle était toute contente et anxieuse à l'idée de s'embarquer à nouveau sur la voie des études.
Ma fille vient de s'inscrire à un cours de sciences physiques avancées afin de faire une demande d'admission au collégial dans le programme Technique en diététique. Ses cours débutent lundi. Elle a déjà commencé à lire le livre avec lequel elle devra travailler, elle a le sourire aux lèvres, elle est prête à faire tous les efforts qui seront demandés. Elle sait qu'elle peut réussir, elle sait qu'elle possède ce qu'il faut pour réaliser ses rêves... et même ceux qu'elle n'a pas encore. Elle possède un potentiel et elle désire en profiter.
Ma fille n'est pas du genre à regarder le train passer... elle le prend avec un grand désir et je sais qu'elle ira aussi loin qu'elle le voudra.
jeudi 12 mars 2009
mercredi 11 mars 2009
Croire en ce qui nous habite

Peut-être n'est-ce que moi qui, habitué au sombre qui trop souvent vient meubler mon travail, me laisser illuminer par cette étincelle que je perçois dans chacun de leur moindre geste ayant un peu de clarté? Je m'en fous! Je me laisse emporter par ce sentiment et je vais m'assurer de faire ma part afin d'attiser ce feu qui les habite et qui réchauffe mes ardeurs au travail.
"La vie engendre la vie. L'énergie produit l'énergie. C'est en se dépensant soi-même que l'on devient riche." (Sarah Bernhardt)
mardi 10 mars 2009
Fais attention à moi

La semaine dernière, j'ai appris à l'école que trois de nos étudiants avaient décidé d'arrêter de fumer (drogue et cigarette). Ils avaient pris la décision ensemble et étaient, semblent-ils déterminés. Ça fait plus de 20 ans que je travaille auprès des Inuit et je n'ai jamais vécu un tel événement. Vendredi dernier, étant donné que la date d'inscription pour le concours "J'arrête, j'y gagne" était dépassée, mon collègue et moi avons décidé de faire tirer 100$ parmi ceux qui auront réussi à tenir 8 semaines sans fumer de cigarettes. En fait, on leur donne un billet de tirage par jour qu'ils ne fument pas. Au bout des 8 semaines, ils ont donc la possibilité d'avoir 56 billets de tirage. Un des jeunes est déjà non-fumeur, on lui a donc proposé de faire 30 minutes d'activité par jour afin d'obtenir lui aussi son billet de tirage quotidien. Croyez le ou non, un mouvement d'entraînement s'est produit. Aujourd'hui, un autre étudiant est venu me dire qu'il avait lui aussi arrêter de fumer et qu'il désirait en plus faire son 30 minutes d'activité physique par jour. Il me disait qu'après déjà trois jours sans fumer, il respirait mieux et sentait les odeurs... La mi-session est bien souvent difficile pour nos jeunes, on a doit parfois les ramasser à la petite cuillère cuillère, le Nord se fait bien loin, le lever du corps pour se rendre aux cours de 8:00 cours représente l'ascension de l'Everest. Pour ce groupe d'étudiant, c'est tout le contraire: ils ont décidé de prendre soin de leur corps et de leur esprit. Un esprit sain dans un corps sain? Parfaitement! Une enseignante, qui enseigne le français à nos étudiants depuis deux ans, est venue me voir ce matin et m'a dit que le groupe fonctionnait tellement bien qu'elle ne reconnaissait plus les élèves qu'elle avait au dernier trimestre.
J'espère que l'esprit de ce groupe, son énergie et sa détermination se rendra jusqu'à vous aujourd'hui et que vous "transmettrez au suivant".
lundi 9 mars 2009
Inspirer...et trouver l'inspiration

Étrangement, il semble que l'eau et l'air ont toujours fait partie intégrante de mes expériences. Tout comme vous, je suis né dans l'eau, dans le liquide amniotique. À ce moment-là, je respirais par le cordon qui me reliait à ma mère et disons que cet air-là était de l'air maternel que je respirais sans tout comprendre de son importance (je suis un peu "dur de comprenure"). Puis, la vie m'a offert plusieurs occasions de vérifier jusqu'à quel point mes poumons étaient réellement des organes essentiels. Ma mère m'a dit que j'étais un bébé qui avait manqué d'air à deux reprises lorsque j'avais quelques mois, on avait dû me mettre sous la tente d'oxygène pour me permettre de mieux respirer. Plus tard, vers l'âge de 7 ans, je suis tombé dans le fleuve St-Laurent, pas très très loin des rapides (j'aime bien croire que c'était très risqué) ... et je m'en suis réchappé grâce à deux bons samaritains...qui m'ont donné le bouche à bouche, ils ont rempli d'air mes poumons dans lesquels s'étaient glissé un peu d'eau: ils m'ont permis de vivre, de respirer à nouveau. Il y a aussi ce film qui m'a toujours impressionné, Le grand bleu, où l'on voit des plongeurs en apné dans le silence des eaux. Jai toujours aimé m'asseoir au fond de l'eau à la piscine municipale et y rester assis aussi longtemps que possible, j'ai même réussis à y rester durant 1min 37 secondes quand j'avais une vingtaine d'années -disons que c'était, paraît-il, pas des choses à faire sans surveillance mais j'ai pas toujours été sage - ce besoin de respirer est tellement grand lorsqu'on sort de l'eau, après ce temps immergé; les poumons se remplissent d'air comme un verre qui se remplit d'eau lorsqu'on l'enfonce dans l'eau.
On dit que la respiration est un phénomène automatique, présent même lorsque l'on est inconscient...C'est tout de même étrange que certains événements très émotifs parviennent tout de même à couper notre respiration. Lorsque quelqu'un de proche nous appelle en pleurs et parle avec de grands sanglots, on lui dit de prendre le temps de respirer, de prendre de grandes inspirations qui lui permettront de se libérer de ce trop plein d'émotions qui tord complètement l'intérieur. Nous aussi, lorsque nos proches sont en difficultés, on a besoin de respirer afin de trouver l'inspiration et choisir les bons mots, ceux qui guérissent, ceux qui donnent espoir, ceux qui font du bien, ceux qui font vivre.
J'aime à penser qu'il nous arrive aussi, quelquefois, de rire à en perdre le souffle.
vendredi 6 mars 2009
Nous deux, c'est bon!!!

Hier soir, j'ai remis la main sur un livre que j'ai lu il y a près de 20 ans et dans lequel j'avais trouvé de grandes vérités quant à la vie à deux, à l'union de deux êtres, à la communion possible entre deux personnes qui un jour choisissent de faire route ensemble.
J'aimerais aujourd'hui partager avec vous certaines idées de ce livre. Sachez donc que ce qui suit est tiré du livre, parfois textuellement et parfois traduit dans mes propres mots.
Écrit par Arnaud Desjardins, ce livre s'intitule Pour une vie réussie, un amour réussi. On y parle du couple comme lieu où il nous est possible de croître, de grandir, de s'épanouir, de progresser ensemble sur la voie de la maturité et de la plénitude sans les émotions mesquines et infantiles de l'égo qui viennent corrompre ou diminuer notre existence.
Une partie du livre porte sur les 5 critères par lesquels on peut reconnaître la valeur profonde d'un couple.
- Le premier de ces critères est le sentiment d'être deux compagnons (Feeling of companionship). Est-ce que la personne avec qui je fais route est aussi ma meilleure amie (mon meilleur ami)? On ne parle pas ici d'amour mais plutôt de ce sentiment qui nous habite quand on se retrouve avec un ami inséparable. Avoir le sentiment de n'être plus seul(e). Nous sommes deux compagnons qui partageons nos existences, nos différences, nos goûts communs, notre amitié et notre complicité.
- Le deuxième critère est l'aisance (Ateaseness), le fait que les choses soient faciles ou aisées. Certains couples vivent le malentendu au quotidien et ont une relation où les conflits sont perpétuels (et souvent pour des péccadilles); tandis que pour d'autres, le simple fait d'être ensemble semble tout dénouer: avec toi tout est simple, tout est facile, tout s'arrange et on ne perd pas d'énergie dans des émotions négatives.
- Le troisième critère est : deux natures qui ne soient pas trop différentes (Two natures which are not too different). Il est vrai que nous sommes bien différents en tant que femme et homme et que c'est la complémentarité qui fait en sorte que deux êtres s'attirent. Cependant, bien que cette complémentarité repose sur la différence, elle repose aussi sur la possibilité d'association, d'imbrication, de complicité et, en c'est en cela que les deux êtres ne doivent pas être "trop" différents.
- Le quatrième critère est la confiance... ou la foi qui est "la perfection de la confiance (Complete trust and confidence). Si dans un couple il n'y a pas de confiance, c'est qu'il y a la peur. L'amour durable qui nous permet de croître et de nous épanouir ne peut avoir la peur comme fondation. Un être qui a été blessé et qui porte cette blessure dans une autre relation devra travailler afin de bâtir son couple sur une confiance pleine et entière. "Du fond de moi monte ce sentiment: elle peut faire des erreurs, elle peut se tromper, elle peut même accomplir une action qui me créera des difficultés momentanées et que j'aurai à résoudre, mais elle ne peut pas me faire de mal. J'en ai la certitude. C'est probablement ici que l'on retrouve l'aspect religieux de l'amour: une foi l'un dans l'autre par laquelle le couple emprunte un chemin sacré, spirituel, dans lequel il peut grandir.
- Le cinquième et dernier critère est : une forte impulsion spontanée à rendre l'autre heureux (Strong impulse to make the other happy). Il semble que ce soit moins simple que cela en a l'air. En fait, il existe une manière très égoïste de vouloir rendre l'autre heureux dans laquelle l'autre n'est pas vraiment en question...chercher à rendre l'autre heureux en lui offrant ce que j'ai envie de lui offrir, en faisant pour elle ce que j'ai envie de faire pour elle sans tenir compte de ses véritables demandes. Si vous donnez mais que l'autre n'a pas reçu, c'est comme si vous n'aviez pas donné (on imagine mal un lapin manger de la viande!!!). C'est ici qu'intervient l'intelligence du cœur. "Donner, ce n'est pas donner ce que nous avons envie de donner à l'autre en le voyant comme nous voudrions qu'il soit mais plutôt à l'autre tel qu'il est et tel que nous avons à apprendre à le voir, à le comprendre et à le ressentir.
La suite du chapitre concerne la sexualité du couple et comment en ayant comme base les cinq critères, la force profonde d'amour ainsi que l'attirance que l'on éprouve pour l'autre ne peut qu'aller en augmentant.
J'aime ce genre de livre qui me permet d'avancer, de mieux comprendre ce que je vis, qui me fait réfléchir sur moi, mon couple, mon rôle de père, sur ma vie en général. J'ai toujours l'impression après une telle lecture que je viens "d'aiguiser mes patins" et que tout glissera beaucoup mieux. Bonne fin de semaine!
jeudi 5 mars 2009
Se faire enfant..et retrouver la vue

Puisqu'une image vaut mille mots, en voici quelques milles de plus. Je vous invite à venir parcourir mes albums photos où j'essaie de capturer une parcelle de tout ce qu'au fil des ans je n'ai pas su voir: http://www.flickr.com/photos/yadessoleils/
mercredi 4 mars 2009
La priorité au précieux

Une histoire de cailloux
Un jour, un vieux professeur de cégep en administration fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière ".
Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".
De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un gallon (pot de verre de plus de 4 litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda :
"Est-ce que ce pot est plein?".Tous répondirent : "Oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment?".
Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda:
"Est-ce que ce pot est plein?".
Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.
L'un d'eux répondît: "Probablement pas!".
"Bien!" répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier.
Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein?".
Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent :"Non!".
"Bien!" répondit le vieux prof.
Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience?
"Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondît :
"Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ".
"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante: si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous ensuite".
Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie?"
"Votre santé?"
"Votre famille?"
"Vos ami(e)s?"
"Réaliser vos rêves?"
"Faire ce que vous aimez?"
"Apprendre?"
"Défendre une cause?"
"Relaxer?"
"Prendre le temps...?"
"Ou... toute autre chose?"
"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir...sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.
Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question :
"Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?"
Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)"
Puis, d'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.
mardi 3 mars 2009
Un petit moment physique

Depuis les 20 dernières années, je pratique surtout le badminton avec un groupe d'enseignants du collège. Ce temps d'activité est devenue une telle thérapie que j'aurais vraiment beaucoup de difficulté à ne pas pouvoir la pratiquer. Dans les moments difficiles, je sais que j'aurai la possibilité de faire sortir les tensions accumulées, de me défouler, de crier, de rire ou d'en faire rire d'autres, tout ça au cours d'une heure de badminton. L'an dernier, j'ai commencé à pédaler jusqu'au collège certains jours et j'y ai trouvé une grande satisfaction puisque cela me permettait de relaxer avant d'arriver à la maison.
Alors, en ce 3 mars 2009, je vous souhaite de la santé afin de pouvoir pratiquer votre propre activité physique.
lundi 2 mars 2009
Le désir de réussir

dimanche 1 mars 2009
La musique est à l'âme ce que l'eau du bain est au corps

"Prends un bain de musique une à deux fois par semaine pendant quelques années et tu verras que la musique est à l'âme ce que l'eau du bain est au corps ", disait Olivier wendell Holmes (Mort en 1894).